Pour avancer ces chiffres, le quotidien britannique explique s’être appuyé sur des informations communiquées par les ambassades de l’Inde, du Bangladesh, du Pakistan, du Népal et du Sri Lanka. Cependant, ce bilan est probablement loin de la réalité, faute de données officielles du Qatar et de rigueur de la part de certaines ambassades. Par ailleurs, certains pays pourvoyeurs de travailleurs pour l'Emirat (Kenya, Philippines) ne fournissent pas de données. Dès novembre 2020, Amnesty International dénonçait les conditions de travail abusives des travailleurs étrangers recrutés sur les chantiers de la prochain Coupe du Monde dans un article intitulé "les droits des travailleurs migrants ne doivent pas rester sur la touche" (accessible ici)
L'article complet est en lecture libre sur le site du Gardian ici (en anglais)